 Posté le: Mar 12 Juin 2012, 14:02 Sujet du message: |
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Il me semble avoir remarqué que le point de départ se situe au niveau du départ d'une feuille et je soupçonne que l'eau qui stagne dans le petit creux y soit pour quelque chose.... entre autres....  à titre préventif, je fends la feuille ou j'en enlève la moitié de sorte que l'eau ne puisse y rester...de même au sujet des restes de feuilles sèches qui entourent le collet et qui sont un nid à bactéries une fois qu'elles sont humides et qu'elles le restent.... maintenant, j'enlève tout quitte à "arracher" si nécessaire la dernière, bien que cela ne soit pas recommandé.... c'est plus propre, l'eau glisse sur une surface lisse, pas de stagnation et un séchage rapide... enfin, s'il veut bien arrêter de pleuvoir  |
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| Posté le: Mar 12 Juin 2012, 12:11 Sujet du message: |
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| Pour en revenir au sujet de ce post, la pourriture des hampes, je voudrais signaler mes observations. En effet, la pourriture qui s'installe en un point de la hampe semble ne pas d'abord affecter le rhizome.
Mais, si l'on coupe la hampe à la base, on constate parfois une pointe colorée qui témoigne de la pénétration de la bactérie jusqu'à la base de la tige. Il faut donc ne pas se contenter de couper la hampe , mais surveiller l'évolution qui a peu de chance d'être bénéfique. J'ai fait d'autres constats, pas très encourageants que je vais poster dans la rubrique "sur la pourriture bactérienne" |
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| Posté le: Ven 08 Juin 2012, 10:21 Sujet du message: |
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| merci Jean-Luc, ta réponse ne m'étonne pas.... | |
| Posté le: Ven 08 Juin 2012, 10:04 Sujet du message: |
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| D'un point de vue purement génétique, plus une hybridation est complexe ( multitude d'hybridation successives) plus il y a de risque de stérilité chez les hybrides, donc par consequent moins de chances d'obtenir des capsules par pollinisation par les bourdons . | |
| Posté le: Jeu 07 Juin 2012, 21:28 Sujet du message: |
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| Il y a sans doute une raison. Mais je ne sais pas laquelle | |
| Posté le: Jeu 07 Juin 2012, 21:27 Sujet du message: |
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Et.... y a-t-il une bonne réponse ???  |
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| Posté le: Jeu 07 Juin 2012, 20:44 Sujet du message: |
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| C'est une bonne question | |
| Posté le: Jeu 07 Juin 2012, 19:35 Sujet du message: |
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Je croise les doigts pour que le bourdon ait fait un choix judicieux 
Mais pourquoi les iris anciens font une multitude de capsules comparé aux autres ? |
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| Posté le: Jeu 07 Juin 2012, 15:10 Sujet du message: |
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| Tout dépend ce qu'on entend par autofécondation. Le plus probable dans ce cas, c'est qu'un bourdon dépose sur un stigmate de Bubble-Up, le pollen d'une autre fleur de Bubble Up.
Je pense que c'est ce qui se passe dans deux plate-bandes, où j'ai une seule variété d'iris (des "vieux") et systématiquement des capsules (les graines semées, ne témoignent pas particulièrement d'une amélioration de la fleur que pourrait produire une fécondation croisée). Mais ça peut-aussi être le fruit d'un croisement avec un inconnu. |
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| Posté le: Jeu 07 Juin 2012, 15:01 Sujet du message: |
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| L’auto-fécondation est tout de même exceptionnelle !
Il y a tout lieu de penser qu'il s'agit d'un croisement entre Bubble Up et N. |
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| Posté le: Jeu 07 Juin 2012, 10:55 Sujet du message: |
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| Bubble Up est un bel iris.
Autofécondation ou fécondation croisée ? Impossible à dire. Il faut récolter, semer, examiner. De bonnes surprises sont toujours possibles ! |
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| Posté le: Jeu 07 Juin 2012, 9:42 Sujet du message: |
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| moi aussi, j'ai eu plein de capsules sur les iris anciens et quand je les ai enlevées, certaines étaient très grosses et....pas pourries !!!
par contre, j'en ai gardé une spontanée sur 'Bubble Up', je n'ai pas le courage de la couper et je me dis que peut-être le hasard.... je sais que vous allez tous hurler.... mais.... d'après vous: est-ce que c'est plutôt 'BubbleUp' x 'Bubble Up' ou est-il plus vraisemblable qu'un croisement ait eu lieu par insecte interposé ? dans ce cas, pourquoi ne pas tenter de voir ce qu'il peut en sortir ? un "cadeau" de la nature est toujours possible, non ? |
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| Posté le: Jeu 07 Juin 2012, 8:56 Sujet du message: |
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| Ça ne consolera personne, mais toutes les pollinisations effectuées cette année (sauf une) ont soit avorté, soit pourri au niveau de la capsule (que ce soit les premières ou les plus récentes dont je pensais qu'elles avaient échappé au lessivage). Parfois la pourriture s'est installée au niveau de la hampe, ne laissant pas d'autre choix que de tout couper.
Ironie du sort, les pollinisations spontanées sur de vieux iris, elles, ont bien résisté… Donc, vraisemblablement pas de cru 2012. Je réfléchis aux moyens d'endiguer cette vague de pourriture… Comme Lionel je n'aurai donc pas de problème de place. |
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| Posté le: Mer 06 Juin 2012, 21:18 Sujet du message: |
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et moi je viens de passer l'après-midi à "découper en petits morceaux" une grosse touffe de 'Rubistar' qui avait continué en douce à pourrir malgré la floraison... j'aurai bientôt plus d'iris en pots qu'en terre  et comme je me suis lancée dans mes premières hybridations finalement, sur les 4 fleurs que j'ai faites (eh oui, j'y vais mollo!), une a connu le même sort que chez toi Lionel....pourrie, elle m'est restée dans les doigts... 
Gerard Raffaelli a écrit:
Sauver le rhizome, quand on le peut, présente un intérêt : il constitue une réserve pour les pousses latérales avant que celles ci soient totalement alimentées par leur système racinaire.
c'est bien pour ça que je l'ai fait ! |
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| Posté le: Mer 06 Juin 2012, 20:53 Sujet du message: |
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| Bonjour, j'ai la même chose mais avec des capsules de trois semaines-un mois au bout.
Chez moi le désastre continue surtout sur les derniers polinisés. Je pense que le fait qu'il pleuve sur les dernières fleurs pendant plusieurs jours il y a deux semaines a accentué le phénomène. Heureusement que j'avais fais pas mal d'hybridation. Mais bon je ne sais pas quand ça va s'arrêter. Je suis déja à au moins 25% de perte au niveau des capsules. A ce régime je n'aurais pas de problème de place !! Et ça commence au niveau des rhizomes. |
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